mardi 31 janvier 2017

Une belle surprise !

J'ai eu la chance qu'une équipe de télévision France 3 vienne me filmer ! 

Retrouvez moi très prochainement dans leur reportage !

jeudi 26 janvier 2017

Soutien financier des élèves !

Merci à l'ALESA (Association des Lycéens, Etudiants, Stagiaires, Apprentis) du lycée agricole d'Yvetot de leur soutien financier !

mercredi 25 janvier 2017

Visite officielle

J'ai reçu la visite des vices-présidents du Conseil Régional Normandie (aux extrémités) et d'une des conseillères régionales Normandie.
David MARGUERITTE, Nathalie THIERRY, Clotilde EUDIER

vendredi 20 janvier 2017

Le point sur mes gambades !

Il est temps pour moi de faire le point sur mes nombreuses gambades ! J'espère que ces gambades autour des Boucles de Seine vous ont fait voyager autant que moi ! Je ne vous laisse pas, continuez de me suivre dans mon aventure avant Paris !




jeudi 19 janvier 2017

Ma 16ème gambade !

Musée Claude Monet à Giverny
Le Musée de Claude Monet est situé à Giverny dans l’Eure. Nous sommes au cœur de la maison de l’artiste et on peut y admirer l’atelier du peintre, ses lieux de vie, les jardins avec notamment le pont japonais et l’étang aux nymphéas.
Ce musée est le 2ème lieu le plus visité en Normandie, après le Mont Saint Michel. Il accueille environ 600 000 visiteurs par an.
Mais comment Claude Monet est-il arrivé là ?
C’est l’histoire d’un coup de foudre. Celui de Claude Monet pour Giverny. Alors qu’il est dans le train qui va de Vernon à Gasny, l’artiste aperçoit le village et tombe sous le charme. En 1883, il y dépose ses bagages, entouré de toute sa famille. Pendant 43 ans, il y vivra heureux et inspiré. Dans cette maison au crépi rose, il puise les principaux sujets de ses tableaux. La lumière si particulière de la vallée de la Seine est son moteur.
Et aujourd’hui ?
Chargée de souvenirs et pleine d’émotion, cette maison a gardé l’âme du maître. A son décès en 1926, sa belle-fille Blanche Hoschedé l’habite jusqu’en 1947. Puis Michel Monet, le fils du peintre, la lègue en 1966 à l’Académie des Beaux-Arts. En 1977, cette académie décide une grande campagne de restauration de la maison mais aussi des ateliers du « Clos Normand » et du jardin d’eau. Confiés à Gérald et Florence Van der Kemp, bien connus pour le succès de leurs campagnes de rénovation du château de Versailles, les travaux sont colossaux et dureront trois ans. Pour parvenir à leur fin, ils font appel aux dons. Les américains y sont sensibles et se montrent généreux. La propriété devient alors une Fondation en même temps qu’un lieu d’exception.
Petit Pont Japonais

Charmée par ce si beau site, je ne peux pas m’y attarder car mon aventure vers Paris approche à grand pas. Et en plus ce musée vous accueille du 1er avril au 1er novembre. 

Les Normands entrent en Seine !


Ma 15ème gambade !

Le Château Gaillard : forteresse médiévale
Le Château-Gaillard veille depuis plus de 800 ans, du haut de son rocher, sur la ville des Andelys et sur l’une des plus belles boucles de la Seine normande.
Le Château-Gaillard a été construit en un temps record entre 1196 et 1198. Pourquoi cette construction rapide ? Afin de protéger la Seine et la ville de Rouen des prétentions de Philippe Auguste, roi de France,  Richard Cœur de Lion, roi d’Angleterre et Duc de Normandie, choisit cet endroit stratégique pour l’ériger.
 Il a inspiré au 19è siècle, le peintre naturaliste Francis Tattegrain dont la toile est exposée, de nos jours, dans la salle des mariages de la mairie des Andelys : « les bouches inutiles » relatent l’épisode de la famine de l’hiver 1203-1204.
Au fil des années la forteresse perd progressivement sa vocation militaire et devient un repère de voleurs, de faux-monnayeurs et de conspirateurs. En 1598, les Etats Généraux demandent à Henri IV la démolition du château. Ses ruines majestueuses ont inspiré des peintres romantiques et impressionnistes,  poètes et écrivains.
Le Château-Gaillard construit de pierre se distingue aussi par la complexité de son plan. Il  s’organise en multiples volumes, presque indépendants les uns des autres. L’objectif était de multiplier les obstacles afin d’épuiser l’assaillant. Cette disposition permet également d’entraver la progression des machines et nécessite moins de défenseurs.
Le donjon est situé au sein d’une haute-cour c’est l’un des éléments les plus originaux et les mieux conservés. Il se présente sous la forme d’un tour circulaire. La haute-cour qui abrite le donjon est entouré par une enceinte et un fossé externe. La haute-cour comporte également un four à pain et une armurerie.  La basse-cour englobe la haute-cour et son donjon. Elle était entourée d’un fossé sec équipé d’obstacles, surmonté d’un rempart polygonal et de tours dont il ne reste plus grand-chose aujourd’hui.
Au-delà de ses richesses architecturales et historiques, le site de Château-Gaillard est répertorié comme monument historique depuis 1862.
Aujourd’hui, il est un lieu de visite incontournable et de nombreuses animations médiévales y sont organisées.


Un peu d’histoire pour bientôt finir la découverte de ces Boucles de Seine ! A très vite au salon !

mercredi 18 janvier 2017

Encore moi : la star !

En ce lundi 16 janvier 2017, mon équipe et moi, avons échangé nos voeux avec l’ensemble des personnes qui travaillent dans les différents sites l’EPLEFPA 76 (établissement public local d’enseignement et de formation professionnelle agricoles).

Nous avons présenté un diaporama de notre projet. J’ai même pu avoir le droit de faire une apparition avant le discours du directeur de l’EPLEFPA. 


Ma 14ème gambade !

Je continue mon avancée vers Paris en vous présentant, la capitale de ma Normandie : ROUEN.


Un peu d’économie
La commune Rouennaise compte 110 755 habitants. Elle est  la 35e ville la plus peuplée de France. Son agglomération compte 466 021 habitants au 1er janvier 2016. Elle se trouve à 136km de Paris.
Depuis le Moyen-Age, et même avant, le port a eu une place prépondérante dans l'activité de la ville, en raison de sa position stratégique entre Paris et la mer, les marées y sont d’ailleurs perceptibles. C’est le premier port européen pour les céréales, farine et engrais. Il se situe au 28ème rang européen. Le trafic pétrolier est bien moindre qu'au Havre mais non négligeable avec la raffinerie de Petit-Couronne. 
Rouen est entourée de grandes villes industrielles et commerciales comme Bois-Guillaume, Mont-Saint-Aignan, Petit-Quevilly, Grand Couronne,  Sotteville-lès-Rouen…
Le centre ? Le sud ? L’ouest ? Le nord ? Ou l’est ?
Rouen est une ville qui s’est petit à petit développée. On peut même dire que Rouen est regroupé en 5 quartiers.
Le centre de Rouen est délimité par les anciennes murailles ce qui correspond à nos boulevards actuels. Le centre est  le lieu historique de Rouen. Le nom de beaucoup de rues rappelle les activités commerciales traditionnelles. Le secteur piétonnier permet aux visiteurs de profiter pleinement des richesses architecturales et de l’offre commerciale.
Le sud est plus résidentiel, on y trouve beaucoup moins de commerce.
Dans l’ouest, sur sa rive droite, l’avenue du Mont-Riboudet a gardé sa fonction historique de centre de l’automobile rouennais. Les quais ont vu leurs anciens hangars réhabilités en établissements commerciaux : restaurants, salle de sport par exemple. Le quartier est en pleine restructuration avec la construction d’habitat durable.
Dans le nord de Rouen, les quartiers sont plus résidentiels. La gare permet de garder des commerces traditionnels.
A l’est, la ville est plus industrialisée. Les moyennes surfaces complètent l’offre commerciale.
Une ville culturelle…
Comment passer à Rouen, sans visiter sa cathédrale ?
Le plus prestigieux monument de Rouen : La CATHEDRALE primatiale Notre-Dame de l’Assomption dont la construction s’est terminée en 1506. C’est elle que Claude Monet a peinte dans une série d’œuvres où il cherchait à représenter les instants fugitifs de la lumière.
Mais c’est aussi de nombreux autres musées d’histoire et d’art. On peut en dénombrer 12. Rouen c’est aussi des quartiers typiquement Normands, avec des maisons en colombages.
Et puis la célèbre  rue du Gros Horloge :
Le Gros Horloge est un monument emblématique de la ville. Il est le symbole de la puissance de Rouen.



Et la Seine dans tout ça ?!
En passant par Rouen, on parle de la « Basse-Seine ». Elle couvre 179 ha de la de la superficie de la ville.

Je vous laisse continuer d’admirer ma Normandie. Petit à petit je me rapproche de Paris. A très vite pour une prochaine Gambade. 


dimanche 15 janvier 2017

Réponse de l'énigme

Grâce aux esquisses et à votre œil averti… 


Vous découvrez la vache créée par Pietr Mondrian (1872-1944), peintre pionnier de l’art abstrait.


Concours Culture-Agri : vidéo 207 !

On a besoin de vous, de vos votes pour aider des copains !

Dans le cadre d'un jeu concours pour le lycée, des élèves d'ACSE ont réalisés une vidéo sur la thématique "sol et terroir" !
Aujourd'hui le monde agricole est en passe de changer, c'est pourquoi, dans cette vidéo nous montrons un exemple d'agriculture pour le futur. Bon visionnage et surtout rendez-vous sur le lien pour aller voter pour la vidéo, c'est la vidéo 207 ! https://www.youtube.com/watch?v=avP48P57A6M


samedi 14 janvier 2017

Félicitations à mon copain Olivier !

Je suis très fière de mon copain Olivier qui est arrivé 1er aux Ovinpiades ! Il va donc aller 2 fois au Salon une fois pour mes amis les moutons et une autre fois avec moi : la star ! 😏

Ma 13ème gambade !

Un village typique des boucles de la Seine
La Bouille est une petite commune située en Seine-Maritime, au bord de la Seine dans l’une de ses boucles : elle s’étend sur 127 hectares.
Ce village est dans un beau cadre entouré par des collines couvertes d'arbres. L’architecture y est remarquable. C’est d’ailleurs pour cela que le tourisme y est très développé.   
Il y a plusieurs choses intéressantes à découvrir à La Bouille, principalement des vestiges du passé médiéval de la ville, une rue calme au cœur du quartier historique et de séduisantes maisons en colombages.
Et pourtant, situé au bord de la Seine vous ne trouverez pas de pont pour traverser celle-ci, juste un simple « BAC ».
Je vous laisse admirer cette belle commune situé au bord de la Seine où il fait bon gambader. Avez-vous une idée de ma prochaine gambade ?



vendredi 13 janvier 2017

Ma 12ème gambade !

Le Manoir de Villers

Les Abbayes sont très intéressantes mais les manoirs ne doivent pas être en reste ! Implanté à Saint-Pierre-de-Mannevile, le Manoir de Villers, en 1581, était une Maison de Maitre construite en pierre de Caumont avec un étage à pans de bois et recouverte de petites tuiles. Il fut transformé et agrandi au cours des siècles, jusqu’à devenir ce grand manoir néo-normand aux toitures inspirées des plus belles maisons de Rouen et aux façades habillées d’un curieux trompe-l’œil grâce à l’architecte Lassire.
Accueilli dans la maison, le visiteur est invité à une sorte de promenade dans des pièces meublées et habitées. Vous pouvez découvrir sous la conduite des propriétaires avec l’appui de leur patrimoine familial, comment l’art de vivre français s’est exprimé dans les arts décoratifs.
On peut aussi découvrir la chambre des voyages de Louis XVI. Cette chambre évoque quelques voyages de Louis XVI en 1786. La salle à manger  permet  aussi de raconter toute l’histoire de la céramique européenne.
Lors de votre visite vous aurez aussi la chance de pouvoir découvrir un magnifique parc qui possède 3 jardins. Le jardin du Levant intègre une composition classique avec des tilleuls en quinconce. Le jardin Secret est caché dans les vivaces et hautes herbes, voué à l’intimité, endroit très reposant par la présence d’un passage dérobé. Le jardin de Verdure avec un large escalier de pierres flanquées de pots à feu XVIIIe siècles vous conduit aux plates-bandes blanches.
Ce parc possède aussi une chapelle construite en pierre de Caumont. Elle existait avant 1581, date à laquelle elle est mentionnée pour la premières fois. On retrouve dans cette petite chapelle des tapisseries cachées derrière l’autel. Dans tous les mystères que ce parc possède on trouve un petit chalet, construit volontairement en retrait au fond du parc par Robert. Le but de la construction était d’en faire un lieu propice à l’étude, la lecture, l’écriture, la peinture ou encore la photographie. Aujourd’hui ce chalet accueille des expositions temporaires.
Et oui les beaux Manoirs de ma Normandie ont de nombreux secrets en voici la preuve ! Venez visiter alors ce manoir riche en histoire !


jeudi 12 janvier 2017

Les Ovinpiades

Qu’est-ce que c’est ?
C’est un concours organisé par la filière Ovine France (INN’OVIN). Il  est réservé aux jeunes en formation agricole qui sont âgés de 16 à 25 ans. Les élèves du lycée agricole d’Yvetot peuvent y participer sur la base du volontariat. Il comporte plusieurs épreuves de manipulation notamment le parage mais aussi  la note d’état, la note de santé… ainsi que des connaissances sur la filière et les races ovines.

Ce concours est organisé dans chaque région de France. Les 2 premiers de chaque région accèderont aux concours national lors du  Salon International de l’Agriculture afin de prétendre au titre de meilleur Jeune Berger de France. 

mercredi 11 janvier 2017

Ma 11ème gambade !

Une exploitation familiale atypique !
L’exploitation se trouve à Sainte-Marguerite sur Duclair, près de la Seine, dans le PNR (article ….). La Seine apporte aux exploitants un climat tempéré pour les cultures. Ce territoire compte aussi un bassin de population assez important qui peut ainsi fréquenter le   magasin à la ferme.
L’exploitation compte 4 associés : Gilles et Sophie, leur fils Gontran et Yves Carpentier, le cousin de Gilles.
Les exploitants ont une surface de 175 hectares, répartis en plusieurs cultures : du blé, des féveroles, de l’orge, des pois, du maïs ensilage, du ray-grass et des prairies.
On retrouve 4 productions animales sur l’exploitation : des cochons, des poulets de chair, des vaches allaitantes et des vaches laitières.
Toutes ces productions  mais dans quel but ?
Toutes les productions sont vendues exclusivement sur l’exploitation via un magasin à la ferme (ouvert le vendredi et le samedi) sauf le lait. Retrouvez le sur http://www.charcuterie-a-la-ferme.com/ .



Mais quelle est l’importance de chaque production ?
L’exploitation produit  1 500 cochons par an en croisement de 3 races. Il existe aussi 4 poulaillers de 750 places en poulets de chair, 55 vaches allaitantes de race Limousine et Blonde d’Aquitaine et 55 vaches laitières de race prim’holstein pour un contrat de 600 000L.
Combien d’animaux sont transformés par semaine ?
 30 porcs par semaine, 170 poulets et 2 bovins sont transformés par semaine.
Pourquoi s’être lancé dans la transformation, une forme de diversification ?
Lors de la création du magasin en 2003, plusieurs questions se sont posées soit doubler la production de cochons en construisant une deuxième porcherie soit se diversifier ! A l’époque, l’exploitant a choisi la diversification pour un contact avec le consommateur. Il a donc ouvert son magasin à la ferme en juin 2003 avec de la persévérance ! Gilles voulait maitriser la filière du début à la fin, de la fourche à la fourchette. Aujourd’hui, le projet s’inscrit dans un cadre de vie familiale qui compte 14 employés (charcutier, boucher, vendeuse, vacher, …)
                                                                                  

Une transmission familiale avec une installation récente !
Gilles, en 1986, s’est installé à la suite de son père qui avait quelques cochons et des vaches laitières. Le père de Gilles avait déjà repris à la suite de son père !

Gontran s’est installé en 2013, par passion pour l’agriculture mais également pour le contact avec les clients. Mais une installation est encore possible dans l’avenir avec  Léo, le frère de Gontran, avec de nouveaux projets toujours dans  le but de développer l’atelier transformation ! « Il faut des projets pour avancer et toujours vivre de sa passion ».

Chez Eugène Boudin, elles donnent du caractère aux paysages !

 Eugène Boudin est un  peintre Normand,  précurseur de l’impressionnisme. Il est né à Honfleur où un musée lui est dédié. Ses œuvres figurent aussi sur les cimaises du grand musée du Havre : le MUMA (Musée d’Art Moderne André Malraux)
C’est entre Trouville et Deauville, dans cette vallée riche en motifs de l'arrière-pays de Honfleur qu’Eugène Boudin réalise toute une série de vaches.

L'artiste traite l'animal en quelques coups de pinceau pour se concentrer, comme à son habitude, sur les variations des couleurs et de la lumière. Capturer les instants fugitifs, n’est-ce pas là l’objectif des impressionnistes, nombreux en Normandie.

mardi 10 janvier 2017

Ma 10ème gambade !

Rapide description de l’exploitation :
L’exploitation de M. Auber, compte 40 hectares de prairies. L’exploitation ne fait que de l’engraissement. Il achète des génisses et quelques mâles à l’âge de 6 mois, principalement de race blonde d’Aquitaine plutôt culards. Il vend tous les ans une trentaine de génisses principalement et quelques bœufs en bête de forme, ce sont des bêtes engraissées.
Ili achète toutes ces bêtes car l’exploitant travaille à l’extérieur à temps complet ; il serait donc difficile de surveiller les vêlages.
Les animaux sont nourris exclusivement avec de l’herbe sous différents stockages sur pied, en foin ou en enrubannage.
L’exploitation est située à La Trinité-de-Thouberville,  commune du  département de l’Eure, qui compte environ 500 habitants.
L’exploitation se trouve sur les bords de Seine, cette situation comprend des avantages et des inconvénients.
L’exploitation possède des terres en haut des falaises très fertiles rongées par l’urbanisation et en bas de la falaise moins riches. Ces falaises limitent l’agrandissement sur un côté.
La Seine présente une zone humide qui peut engendrer la douve mais cela permet aussi d’avoir toujours de l’humidité pour avoir de l’herbe en permanence même en période sèche.
Lorsqu’on travaille, la vue est particulière belle sur la Seine.
Pourquoi s’être installé ?
M. Auber a repris la suite de sa mère en 2001, qui avait 8 hectares. Avec le temps, il a réussi à s’agrandir pour augmenter sa production.
Il souhaitait continuer ce que ses parents avaient entrepris pour le transmettre à leurs enfants.
La passion au cœur de l’exploitation :
La passion prime sur le travail que l’exploitation demande. Monsieur Auber fait tout ça dans l’objectif d’aider son fils dans son projet d’installation en lui permettant de pouvoir vivre pleinement du métier d’agriculteur !

Il souhaiterait que l’agriculture française arrête la surproduction en revenant à une agriculture raisonnée sans obligatoirement se tourner vers l’agriculture biologique. 

dimanche 8 janvier 2017

Ma 9ème gambade !

L’Abbaye de Jumièges
Fière de mes racines, fière aussi du riche patrimoine que possède la Normandie. Un peu de culture générale ne fait de mal à personne ! Une gambade sur cette autre abbaye était nécessaire avant d'arriver à Paris !


Pour commencer, plongeons-nous  un peu dans l’histoire…
Fondée vers 654 dans une boucle de la Seine par Saint Philibert, l’abbaye connaît un essor très rapide. Dès 841, elle est dévastée par les Vikings, obligeant les moines à abandonner le site pendant presque 10 ans. Après la création du duché de Normandie, Guillaume Longue Epée second duc, favorisera sa renaissance. Elle ne  retrouve vraiment ses origines qu’au 11ème siècle où on  note  la reconstruction de l’abbatiale Notre-Dame. Charles VII y loge en 1450, succède Charles IX en 1563. En 1790, fut le départ des derniers moines, les bâtiments seront vendus comme biens nationaux et serviront de carrière de pierre de 1796 à 1824. L’Etat a racheté les ruines en 1946. Par  la suite l’Abbaye de Jumièges est devenue propriété du Département de Seine-Maritime en 2007.
Regarder moi cela, ne sont-elles pas jolies ces tours blanches s’élevant à 50 mètres au fond d’une boucle de la Seine. Cette Abbaye est aujourd’hui en ruine mais sa destruction au XVIème siècle, lui a valu le nom de «  plus belle ruine de France », n’est-ce pas vrai ? L’abbaye de Jumièges est l’un des plus anciens monastères bénédictins  de Normandie. Ce n’est pas rien tout de même ! Lors de sa visite, on peut traverser neuf siècles d’architecture. L’Abbaye de Jumièges comporte : l’église Saint-Pierre, l’église Abbatiale Notre-Dame, le cloître, les celliers, la salle capitulaire, le logis abbatial et la porterie.
Et oui sur ma route pour aller à Paris, j’ai l’occasion de croiser de beaux monuments. Je ne pourrais pas vous faire partager toutes mes visites. Mais attendez la suite !

Un peu de culture avant le salon de l’agriculture, n’est mauvais pour personne. A bientôt pour une nouvelle gambade.

jeudi 5 janvier 2017

Ma 8ème gambade !

Abbaye Saint Wandrille de Fontenelle
Les abbayes sont très représentatives de ma Normandie. Une gambade sur une abbaye connue était nécessaire avant d’arriver à Paris !


Pour commencer, plongeons-nous dans un peu d’histoire…
Avant la fondation de l'abbaye, il y aurait eu un domaine gallo-romain, mais on ignore l'ancien nom du ruisseau aujourd'hui dénommé Fontenelle, où un moulin aurait été construit.
L’abbaye fut fondée en 649 par Saint Wandrille, précédemment ministre du Roi Dagobert. Emigrée vers le Nord lors des invasions des Vikings au IXème siècle, la communauté revint en 960, et quelques années plus tard, l’abbé de Saint Wandrille, Maynard, fondait l’Abbaye du Mont-Saint-Michel.
La vie monastique, interrompue en 1790, fut reprise en 1894 par des moines bénédictins venant de Ligugé et de Solesmes. On peut voir les ruines de l’ancienne église abbatiale (XIIIème-XIVème siècles). L’église actuelle est une ancienne grange transplantée en 1968-1969.
Aujourd’hui l’Abbaye fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques  depuis le 10 juillet 1995.
Le style de cette abbaye est le style roman et gothique. Ce n’est pas pour rien que je vous parle de cette abbaye !  C’est la seule à posséder un  cloître gotihique complet en  Haute-Normandie. Ce cloître a été construit sur l'emplacement de deux autres cloîtres, l'un construit par Saint Wandrille et  l'autre construit par Maynard Ier.  Le plus représentatif de cette abbaye vous ne devinerez jamais ! Des objets, souvenirs ? Et non, la bière ! Les moines de cette abbaye ont entrepris, en 2016,  d’élaborer eux-mêmes une bière de qualité. Cette bière, brassée et mise en bouteille par les moines à l'abbaye, doit sa couleur à un harmonieux mélange de plusieurs malts, lui assurant une rondeur en bouche aux légères notes de caramel. Les houblons, cultivés en France, lui apportent les arômes boisés et épicés d'un lever de soleil à la sortie de l'office de nuit.

"Elle a la couleur d'une ambrée,
mais la fraicheur et la rondeur d'une blonde."


Cette gambade se termine sur une note ambrée ! Attendez la suite de mes gambades vous pourrez être surpris !

mardi 3 janvier 2017

Ma 7ème gambade !

Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Que seraient mes gambades sans vous parler du Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande !




Le Syndicat Mixte du Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande a pour objet la mise en œuvre du projet de développement durable du territoire.  Il est défini par la charte du parc et la mise en cohérence des actions menées dans ce cadre. 




Le territoire du Parc
Le parc se situe en Haute-Normandie, il regroupe 82 communes dont 49 en Seine-Maritime et 33 dans l’Eure. Il compte 3 villes portes d’entrées : Canteleu, Yvetot et Pont-Audemer. Il s’étend sur 89 700 hectares pour 103 067 habitants. Dans ce parc sont protégées 9 aires de manière forte : 2 réserves naturelles nationales, 6 arrêtés préfectoraux de protection des biotopes, 1 réserve biologique domaniale et 2 réserves naturelles régionales en cours. On a aussi la présence de 7 sites Natura 2000 et de 3 routes touristiques.
L’enjeu prioritaire du parc des Boucles de Seine Normande est la conservation des zones humides qui représente 20% du territoire soit 10 fois la moyenne nationale


Les 3 ambitions de la charte 

-       Etre garant des équilibres dans un territoire riche et respectueux de ses paysages, de sa biodiversité et de ses patrimoines naturels et culturels.
-         Coopérer pour un développement local, durable, innovant et solidaire.
-        Tisser des liens entre les habitants et leur territoire en construisant un sentiment d’appartenance et une culture commune.

Le Parc Naturel Régional des Boucles de Seine Normande mène de nombreuses actions diverses et variées… Le parc a des missions en terme de biodiversité, dans l’architecture et l’urbanisme dans l’objectif de conseiller, d’expertiser et d’avoir un appui à la maitrise d’ouvrage.

Mais que serait le parc sans le tourisme ?

Le territoire des Boucles de Seine est propice au tourisme et aux nombreux loisirs. Plus de 200 000 visiteurs fréquentent les sites et monuments du territoire : les abbayes de Jumièges et de Saint-Wandrille sont les plus visitées. De plus, deux routes très emblématiques ont été  aménagées pour la préservation du paysage, le maintien et la valorisation de savoir-faire locaux : la route des fruits et la route des chaumières..

Et sans l’agriculture ?

Près de 50% du territoire du parc est valorisé par l’agriculture.  La surface agricole utile est de 38 841 hectares soit 47% de surface agricole utile sur son territoire et 20% de forêt. Une agriculture plus à vocation d’élevage malgré une diminution des exploitations sur ce territoire. L’élevage constitue 51% des exploitations, dont 27% sont en bovins lait.  Ce parc est reconnu pour sa belle couleur verte en raison des nombreux herbages qui représentent 18 664 hectares.

Et voilà, une autre gambade qui se termine pour moi ! J’ai eu la chance de pouvoir parcourir  ce parc aux richesses inestimables, alors allez-y,   n’hésitez pas. Ce parc représente toute la beauté naturelle que l’on peut trouver au fil des Boucles de la Seine. A bientôt, pour la suite de mes gambades, je compte sur vous !

dimanche 1 janvier 2017

Bonne année et bonne santé !

"Je ferai de cette passion mon métier ! "

Mon équipe et moi vous souhaitons les meilleurs vœux pour l'année 2017 !